L’Iran fait partie des pays les plus connus au monde pratiquant la peine de mort. D’après les comparatifs établis par les spécialistes, ce pays prend la deuxième place après la Chine en nombre d’exécution de prisonniers.
La peine de mort de mort en Iran
L’Iran est considéré comme l’un des pays là où la peine de mort est très pratiquée. Ce châtiment s’applique que soient pour les majeurs ou pour les mineurs, pour des crimes violents ou non. Effectivement, la peine de mort ou la condamnation à la peine capitale en Iran peut être prononcée dans plusieurs situations, notamment selon le crime ou l’infraction commis par le prisonnier. Comme tous les pays du monde, le meurtre est la peine capitale en Iran. Ce dernier est le seul qui peut encore conduire un mineur à la condamnation maximale, notamment la peine de mort. Dans le cas d’homicide, les juges doivent annoncer la peine de mort. Une sentence qui s’exécute à moins que l’accusé puisse avoir la clémence de la famille de la personne victime. La peine de mort d’un prisonnier en Iran peut être mise en exécution si ce dernier a commis un enlèvement ou un viol. D’autre part, d’après la loi de ce pays, même la culture, la production, la possession ou la distribution de drogues peuvent être passibles de peine de mort. Une sentence qui est considérée comme une violation des droits humains pour la majorité des pays. Ainsi que par le passé, un grand nombre de personnes concernées ont été exécutées par des crimes nommés homicides involontaires. Plus précisément, des crimes qui ne sont pas considérés comme des délits les plus graves. C’est pourquoi la résistance iranienne et le peuple iranien ne cesse de lutter afin d’éviter ce massacre.
Bilan concernant l’exécution de prisonniers en Iran
Selon les estimations des spécialistes, en 2000, le pays iranien a mis à mort à peu près 165 personnes dont la plupart ont été condamnées par des crimes qui ne sont pas passibles de peine de mort dans d’autres pays. En 9 ans, seulement, ce chiffre s'est augmenté jusqu’à environ 2205. En 2010, encore 190 individus ont été exécutés dont 6 d’entre eux sont des femmes. 132 pour trafic de drogue, 11 pour meurtre, 4 pour des raisons politiques, 19 pour viol, 7 pour enlèvement et 17 pour la religion. En janvier 2011, 8 personnes dont 7 sont condamnées pour trafic de drogue et 1 pour viol ont été pendus à la prison d’Evin en Iran. Le 26 décembre de cette même année, 5 personnes ont été pendues pour trafic de drogue. Après cela, au moins 16 autres prisonniers ont été condamnées à mort depuis la fête de Noël, parmi ceux, deux jeunes hommes connus sous le nom de Mohammad et Ali. En 2013, le pays iranien a reconnu officiellement avoir exécuté environ 369 personnes sans compter ceux qui ont été mis à mort secrètement. D’après des sources fiables, il a eu lieu environ 335 exécutions tenues secrètes.
La résistance iranienne
La torture, les amputations, la lapidation, l’énucléation et les exécutions en publiques sous les yeux des enfants, des familles ravagent les esprits et les cœurs du peuple iranien. En effet, depuis des années, le nombre de condamnations à mort existant dans ce pays ne cesse de faire la une dans les journaux du monde entier. La peine de mort est une action qui est devenue une habitude au sein de ce pays. Même pour des simples crimes, si la loi décide de torturer ou de condamner à mort, aucun prisonnier ne peut y contester. Une action qui est considérée comme inhumain et une violation aux droits de l’homme. Le peuple iranien et madame Maryam Rajavi, présidente de la résistance iranienne, ne cessent de faire de leur mieux pour l’abolition de la peine de mort en Iran.